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Legacy's world
23 mai 2009

the night of the life - chapitre 11

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  the night of the life : la nuit des rêves éternel.

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Chapitre 11 : La décision.


Je me réveillais en sursaut les larmes aux yeux, le cœur serré. Je me sentais mal comme beaucoup de fois depuis que j'étais petite. J'avais étouffé un cri pour ne pas qu'il s'inquiète pour moi. Je regardais autour de moi comme si il manquait quelque chose. Je regardais le petit réveil durement, il indiquait sept heure, je n'avais pas la force de me lever et pourtant je le devais. Des bruits de pas résonnèrent dans le couloirs, comme si un mort-vivant venait de ce réveiller et ce dirigeait vers la cuisine. Je me forçais à éviter d'imaginer Thomas avec une tête de zombie pour ne pas me mettre à rigoler. Je me réveillais lentement pour être sur de ne pas me lever trop précipitamment mais je ne pouvais reculer d'avantage l'échéance. Les pas retentir derechef dans le corridor et ils s'arrêtèrent devant la porte de ma chambre, j'en étais persuadé. Je repoussais la couverture et m'avançais lentement vers la porte. Il ouvrit la porte au même moment où je mettais la main sur la poignée. Nous nous retrouvions derechef nez à nez sans que l'un de nous deux dise un mot. Cela dura pendant de longues minutes. Ses yeux émeraudes me déshabillaient du regard mais pourtant il avait un léger regard d'espoir qui brillait dedans. Je le détaillais, ses lèvres d'une finesse qui me faisait tressaillir, son visage d'une finesse rare pour un homme, la chaleur tiède qui dégageait de son corps, sa peau rosé tirait vers un rose pâle mais pourtant tout chez lui le rendais encore plus beau. Je remarquais après l'avoir détailler que je m'étais mise à rougir. Il eut un petit sourire en coin en voyant ma réaction pourtant il ne parlait toujours pas. Je ne l'avais jamais détailler ainsi et cela me surpris un peu sans pour autant me désespérer. Il essayait de me regarder droit dans les yeux mais à chacune de ses tentatives je déviais le regard pour regarder autour ou par terre. Enfin il ouvrit la bouche mais aucun son n'en sortit. Il était comme paralysé.

- " Qu'est-ce qu'il y a ?
- Euh... Pardon... Bonjour.
- Oui.
- Tu veux quoi comme petit déjeuner ?
- Je me débrouillerais toute seule, ne t'occupe pas de moi.
- Cela est mon devoir de prendre soin d'une fleur qui vient de ce réveiller brutalement. S'exclama-t-il en riant. Tu croyais peut être que je ne t'avais pas entendu crier tout à l'heure ? Je ne suis pas encore aussi bête que ça.
- Pardonne moi... Cela m'est difficile à gérer.
- Mais pourquoi t'excuses-tu ? Cela ne sert à rien, je ne vois pas pourquoi je t'en voudrais. "

Il me dévisagea d'un regard impassible qui me fit frissonner.

- " Quoi ? M'exclamais-je.
- Tu as l'air d'être encore fatigué, veux-tu que je te laisse retourner te reposer ?
- Laisse tomber ça, je dors très peu la nuit depuis si longtemps que la fatigue ne me fait plus peur.
- Comment cela ce fait-il ?
- C'est comme ça sans que je ne puisse le savoir. "

Il rentra dans ma chambre et me prit la main pour m'amener jusqu'au lit. Il me pria de m'asseoir dessus.

- " Je te voyais trembler alors je me suis dis qu'il valait peut être mieux que tu t'assoies.
- Oui, merci. Je suis désolé de l'inquiétude que je te fais. Murmurais-je.
- Non, ne t'en veux pas. Tu vas sans doute douter de moi mais j'ai vraiment un mauvais caractère, tout le monde n'arrive pas à me supporter.
- Pourtant il y a tellement de filles qui t'admires, je ne comprend pas.
- C'est pourtant simple non ! Je suis qu'un idiot, facilement irritable Ely à du mal à me supporter et l'album à du mal à avancer. S'énerva-t-il.
- Bah t'en fais pas, je suis têtue et je ne change pas facilement d'avis pour ça crois moi.
- Oh, ne t'inquiète pas je l'ai remarqué. "

Il me sourit légèrement et je ne pus m'empêcher de lui rendre. Il s'accroupit en face de moi et m'observa de sa petite place. Ses deux émeraudes étaient plongés dans mes yeux bleu d'eau. Je n'arrivais pas à lire son expression ni son regard et cela me fit un peu froid dans le dos. Il remonta vers mon visage et ce mit à quelques centimètres seulement. Un frisson me parcouru alors du bas du dos jusqu'à ma nuque et mon cœur commença à s'accélérer comme jamais auparavant. Il avait une façon de réagir un peu lunatique à des moments. Sans m'en rendre compte je me penchais de plus en plus vers lui. Il avait un large sourire, c'est à cause de cela que je remarquais mon geste. Je me reculais rapidement le rouge m'était monté aux joues et mon regard ce détourna directement. Je l'entendis rire et cela me fis quand même plaisir lui qui était légèrement froid depuis le matin. Il me prit ma main gauche et commença à dessiner avec son doigt une fleur dans ma paume. Je lui souris d'un sourire sincère, chose qui n'existait pourtant plus depuis longtemps chez moi. Je me levais doucement une fois qu'il eut fini et m'avançais vers la fenêtre. Au loin on pouvait apercevoir l'horizon et la mer mais pourtant des arbres empêchaient la vision correcte. Je l'observais pendant un long moment avant de partir en direction de la cuisine. Thomas était resté dans ma chambre à me regarder faire. Mon ventre commença à gargouiller dès que je mis un pied dans la cuisine. Je m'empressai de chercher ce qui serait le mieux pour moi à manger avant qu'il ne réapparaisse près de moi derechef. Il avait un sourire diabolique qui me faisait froid dans le dos rien qu'en le regardant, comme si il attendait quelque chose. Je choisi donc courageusement de l'ignorer mais cela était plus simple à dire qu'à faire. Il m'observait sans bouger telle une statue sans vie.

- " Qu'est ce qu'il y a ? M'empressais-je de lui demander perplexe par cette soudaine observation.
- Rien, vraiment rien.
- Alors pourquoi es-tu toujours derrière moi à guetter le moindre faux pas ?
- N'ai-je pas le droit moi aussi d'être ici ? Pourtant, je sais que je suis chez moi.
- Oui, c'est vrai. Dans ses cas là, je vais partir.
- Reste ! Me demanda-t-il en attrapant ma main au moment ou j'allais partir. Je ne t'empêcherais plus de faire ce que tu veux. Alors reste. Je retourne dans ma chambre pour t'aider.
- Cela ne sert pas à grand chose. Je me sens pas vraiment à ma place ici comme si j'étais de trop.
- Oh non. J'aime beaucoup ta présence, elle m'apaise.
- Il y a vraiment quelque chose qui cloche la... Je rentre. "

Il ne me retint plus et me laissa partir même si j'avais remarqué que cela l'attristait. Je me rendis alors vers la chambre puis après avoir pris mes affaires sortit de l'appartement. Je me devais de me dirigeais vers la gare pour rentrer enfin chez moi même si je savais que mon frère allait surement me passer un savon. J'eus la chance de ne pas avoir à attendre longtemps avant que le train n'arrive. Je n'arrivais pas à réfléchir sérieusement parce qu'à chaque fois je pensais à lui. Une fois un pied à la maison, mon frère sur le canapé me regarda avec un regard mauvais mais ne dit rien à ma grande surprise.
Les semaines avaient passés tandis que je sortais du lycée comme à mon habitude sauf que cela faisait déjà deux semaines que la présence de Thomas me manquait. Le lundi soir, deux semaines auparavant Océane et Moi avions découverts Ely devant le lycée à la place habituelle de Thomas. Elle avait une lettre à mon attention et je me rendis compte que c'était vraiment une personne très gentille. Dans cette lettre Thomas me faisait part de la tournée qui allait le retenir pendant près d'un mois. Toutefois, maintenant j'étais devenu impatiente et je voulais de plus en plus le voir et me disputer avec lui si il le fallait mais je voulais la preuve qu'il était près de moi. Océane semblait amusé à ma réaction désappointé à chaque fois que je ne voyais pas Thomas à sa place habituelle devant le lycée dans ses pensées. Je me sentais de plus en plus idiote comme si quelques choses d'important manquait à ma vie depuis plus longtemps que je ne l'aurais cru. Pourtant mes journées depuis son départ étaient de plus en plus banal, même trop à mon goût. Il manquait ce qui me mettait de bonne ou de mauvaise humeur, le sourire d'un idiot près à me complimenter pour ce justifier. Mais, je ne devais pas me laisser déprimer à cause de lui et me reprendre avant qu'il ne me détruise complètement. Il me restait environ deux semaines d'attente et je pouvais bien faire cela pour lui. Mes journées étaient répétitif même trop et cela me pesait beaucoup. Depuis quelques jours, Océane avait trouvé son prince charmant et essayait de jonglé entre lui et son frère tandis que moi je restais collé à Zac même si j'étais à moitié dépressif. Zac avait l'air heureux pour sa sœur mais à des moments je le sentais ailleurs s'inquiétant pour elle quand elle n'était pas près de lui. J'aimais dans ses moments là l'embêter pour le distraire un peu et le voir sourire. Son regard une fois distrait était toujours plein de gratitude pour ce que je faisais pour lui. C'était quand nous rentrâmes chez nous que je me demandais comme il allait faire parce que sa sœur rentrait toujours un peu plus tard. Mes journées étaient quand même les mêmes et cela commençait à m'ennuyer. Mon frère était comme d'habitude dans la cuisine entrain de préparer le dîner et je faisais comme si il n'était pas là pour ne pas souffrir de ses commentaires. Toutefois cette fois il m'interpela quand j'étais dans l'escalier.

- " Anna, j'ai quelque chose à te dire !
- Qu'est-ce que tu me veux ?
- Il y a eut un appel pour toi et tu devrais peut être rappeler.
- Qui ?!
- Me prend pas pour un idiot. De plus, j'aime pas entendre parler de lui et tu le sais mieux que moi-même.
- Qui !!
- Ton copain ! Je ne vois pas qui ça aurait pu être d'autre même si j'aurais préféré que ce soit quelqu'un d'autre.
- C'était qui ? Je connais plus de garçon que tu ne le pense.
- A ouais, et tu en connais beaucoup qui sont au studio ?
- Au studio ? Non... Thomas ?
- Merci de le remarquer maintenant.
- Mais pourquoi a-t-il appelé ?
- Comme si je le savais. Enfin quoi qu'il arrive tout est à côté du téléphone si tu veux savoir. Et tant qu'on y est, ça fait longtemps que je n'ai pas vu Zac ni Océane, qu'est-ce qui ce passe ?
- Zac avait plein de devoir à faire et Océane était avec son copain alors aucun ne peut pas être là avec moi okay ?
- Oh. Désolé je ne le savais pas. Tu peux toujours les invités à venir ce weekend.
- Ouais, si ils sont libre.
- Aller, fait quelque chose pour ce mec qui n'arrête pas de faire sonner ce foutu téléphone.
- Okay, je m'en occupe. "

Je me dirigeais alors vers le téléphone et dès que je fus devant il ce met à sonner. Je le décrochais un peu tendu tandis que je me sentais observer par mon frère.

- "Allô ?
- Ah, tu décroches enfin, sais-tu combien de fois je tentes ?
- Non mais je sais que ça lui tapait sur le système.
- Pardon mais je voulais vraiment te joindre.
- Mais pourquoi ? T'aurais pas pu attendre ?
- Bien sur que non. Ça me fait bizarre de ne pas te voir. Je voulais t'entendre.
- Arrête de faire le gamin, ça ne servait à rien de harceler mon frère juste pour m'avoir à l'autre bout du fil.
- J'en avais besoin. J'arrive pas à me concentrer et Ely veut m'étriper à cause de cela. J'ai pris de mauvaise habitude et maintenant j'en souffre. En faites comme je pouvais pas venir te voir je me suis dis que si je t'appelais ça ne me tuerai pas et pis ça te ferais peut être plaisir.
- Tu n'étais pas obligé je te le jure. Mais merci de changer un peu mes journées morose. Mais, ne prend pas ça comme si c'était normale. Je crois que ton comportement qui me tape sur le système me manque un peu. Zac et Océane ont dû le remarqué aussi. Dit, tu voudrais bien m'aider avec mes révisions quand tu seras de retour ? J'ai du mal et j'ai bientôt un examen.
- Si c'est tout ce qu'il te faut je le ferais avec plaisir cependant je ne suis pas très doué avec tout ce qui est cours alors ne m'en veut pas si j'ai du mal.
- Ne t'en fais donc pas pour ça. Je pense qu'à nous deux on y arrivera bien. Je veux juste que ce sois toi qui m'aide sinon je pense pas que j'y arriverais.
- Très bien. Toutefois tu vas devoir attendre jusqu'à ce que je revienne. Encore deux semaines. Tu penses arrivé toute seule jusque là ?
- Je sais pas. Tu veux me testé ? Ne t'inquiète donc pas pour moi veux-tu, j'y arriverais bien toute seule pendant deux semaines.
- Ah ah. Okay, alors on ce voit dans deux semaines comme d'habitude.
- Je t'attendrais alors soit à l'heure. A plus tard.
- Prend soit de toi.
- Je peux te le retourner, la personne qui devrait faire le plus attention à elle c'est surement toi. Si tu ne veux pas te faire étriper.
- Oui c'est vrai. Aller, je dois y aller ils m'attendent pour répéter pour le concert de ce soir.
- Au revoir. "

Je raccrochais le combiné que je serais très fort dans ma main. Puis je montais dans ma chambre plus lentement que prévus, juste le temps de digérer ce coup de téléphone. Une fois dans ma chambre, je m'écroulais sur mon lit encore abasourdis. Une fois que j'eus repris complètement mes esprits je me lançais sur les devoirs et attendis patiemment l'heure de manger. Le lendemain, Zac et Océane étaient tout les deux entrain de m'attendre à la gare, mais j'étais encore dans mes pensées, perturber par lui comme toujours. Zac me sauta au cou comme à chaque fois et je lui rendis son étreinte en lui faisant juste après un petit baiser sur la joue. Juste après je saluais Océane de la tête tandis que son frère me lâchais enfin. On avait encore le droit à une journée complètement banale. Mais cela fut vrai à part le faite d'avoir eu un contrôle surprise tout était complètement banale. J'aimais à savoir que plus le temps passé et plus notre moment arriverait. La semaine suivante mon frère vint me cherché dès qu'il eut fini son travail pour me ramené à la maison. Il avait aussi prévu de ramener Zac et Océane en même temps, malgré cela Océane avait encore préféré rentrer par ses propres moyens tandis que son frère venait avec moi. J'avais la sensation qu'elle manigançait quelque chose mais je ne pouvais rien y faire. Mon frère gardait le silence pendant tout le voyage. Les jours passèrent sans que je ne vois Océane plus d'une heure et cela commençais à me faire froid dans le dos. Les jours passèrent et les quelques jours de la dernière semaine je ne l'a vis pas du tout tandis que Zac me collait de plus en plus. Le Lundi soir, je me postais sous l'arbre comme prévu avec Zac à mes côtés et attendis un long moment, jusqu'à ce que je vois une ombre tout près de moi. Je le regardais dans les yeux avec un petit sourire et il me le rendait, Zac ce mit entre lui et moi sans que je ne comprenne pourquoi et il me regarda méchamment.

- " Qu'est-ce qui ce passe Zac ?
- " Je ne veux pas, Océane n'est pas là, ne pars pas avec lui s'il te plait. "
- Mais Zac, pourquoi tu me dis ça ? Je n'ai pas l'intention de te laisser seul si c'est ce que tu crois !
- " Pardon... Océane m'a demandé de te retenir sans que je ne sache pourquoi... Si ça n'aurait tenu qu'à moi je t'aurais laissé partir depuis longtemps. "
- Qu'est-ce qu'elle me cache encore ? Je commence à en avoir marre, depuis le début de la semaine on la voit plus et maintenant elle ne veut pas que je vive ma vie.
- " Je sais... Au moins deux minutes et si dans deux minutes elle n'est toujours pas là alors je ne te retiendrais pas plus longtemps... Mais s'il te plait au moins deux minutes. "
- D'accord... Mais tu me promet de ne pas me retenir après ? "

Il acquiesça d'un signe de tête et l'on commença la longue attente. Ce fut au bout de plus de deux minutes que l'on aperçut enfin Océane, pas seule évidement. Je regardais Thomas et je m'étais tourné vers elle quand j'avais vu la tête crispé qu'il avait eu en la voyant arriver. Les dents serrer j'eus l'impression que quelque chose n'allait pas, son regard méchant était lui plongé dans les yeux du petit ami d'Océane. Je me mis près de lui et lui serrait le petit doigt pour lui faire reprendre ses esprits. Il me regardait comme si il aurait été capable du pire à ce moment précis. Cependant il ne fit rien, il ne bougea même pas un membre. D'un coup, il ce retourna vers moi.

- " Je pense que je reviendrais plus tard. Dit-il toujours crispé. "

Je le vis commencé à partir et je le retins par le poignée tout en le serrant de toutes mes forces.
- " Pourquoi cela ? Lui demandais-je curieuse.
- Laisse moi partir s'il te plait.
- Non, dit moi d'abord pourquoi... "

Je n'eus pas le temps de finir ma phrase qu'il m'embrassa par surprise, automatiquement je lâchais son poignée et il rompit le contact de nos lèvres pour reprendre sa route. Je voyais rouge et tout en le voyant s'éloigner je l'insultais de tout le nom possible et imaginable. Toutefois il allait me payer ce qu'il venait de faire. Océane qui arrivait près de moi et qui me voyait entrain de l'insulter tandis que son frère écrivait sur son carnet me regarda interrogatrice.

- " Qu'est-ce qu'il ce passe Anna ?
- C'est lui là, cet idiot, il part comme un voleur ! M'exclamais-je hors de moi.
- " Et en volant un baiser " Renchérit Zac sans que je lui ai demander.
- Ha, Ha, je comprend mieux maintenant. Mais pourquoi il est parti ?
- Si je le savais, je te le dirais. Cependant, ce n'est pas le cas et il n'a pas voulu me le dire.
- Il c'est peut être rappelé qu'il avait quelque chose à faire.
- Oh, j'en doute. Il n'avait pas l'air à l'aise... Mais je voudrais que tu me dise pourquoi ton frère m'a retenu ?
- Ah, ça... Bah, j'avais quelque chose à te donner et j'ai eu du mal à me décider.
- Non... Ne me dit pas que... Tu as pensé à mon anniversaire !
- Euh... Bah si pourquoi. Me demanda-t-elle en souriant.
- Et dire que j'avais tout fait pour rester invisible... Tu n'aurais pas dû et tu le sais non.
- Je n'ai pas pu m'en empêcher. Tiens s'il te plait. "

Elle me tendit un petit paquet que je ne pus hélas pas refuser et je commençais à l'ouvrir nerveusement. Zac attendait près de moi curieux comme jamais, il n'avait pas l'air de savoir ce que ça sœur avait encore mijoté. Quand le paquet fut ouvert il me restait plus qu'à ouvrir la petite boite en cachemire. Dans celle-ci ce trouvait deux adorables barrettes à leur extrémité se trouvaient deux petites fleurs faisant pensée à des fleurs de cerisier. Je restais sans voix devant le petit cadeau qu'elle m'avait offert même si j'en avais pas voulu cela me faisait vraiment très plaisir. Je refermais alors délicatement et je regardais Océane.

- " Dit moi, c'est ton idée ou celle de quelqu'un d'autre ?
- Les deux. Me sourit-elle.
- Qui ?
- Euh... C'est que...
- Dit moi qui Océane ! M'énervais-je.
- Bah ton frère et Thomas...
- Quoi ?! Dis-je furieusement. Mon frère... Et cet idiot aussi !
- Je les avais prévenu... Je savais comment tu allais réagir mais ils n'ont pas tenu compte de mes avertissements.
- Mais tu les as quand même aider. Océane vous abusez tous autant...  Toutefois... Je pourrais peut être vous pardonnez tous autant que vous êtes... Parce que c'est vraiment adorable.
- Je suis vraiment heureuse que ça te plaise. Me dit-elle moins renfermé sur elle même. Mais je crois quand même que la personne qui mérite plus d'éloge est Thomas... C'est lui qui à eut l'idée des barrettes.
- J'aurais dû m'en douter... Il ira vraiment aux bouts de ses envies lui, c'est pas possible. Il fait toujours ce qui lui chante sans avoir un avis préalable.
- Là, je pense que tu t'égares dans un autre sujet. Me rappela Océane amusée.
- Peut être... Voire surement. Malgré cela je me demande ce qui n'allait pas tout à l'heure...
- Non ! Toi, tu t'inquiète pour lui !! Tu me cache quelque chose là.
- Et alors ? Je peux non, tu l'as bien fait non ?
- Okay, okay, t'as gagné. En attendant va le rejoindre, je pense qu'il voudrait savoir comment tu trouves ton cadeau.
- Mouais... Mais avant je vais l'étriper. "

Je me mis à courir lentement vers chez lui, je mis que quelques minutes. Et en un peu moins de temps je fus devant la porte de son appartement à frapper timidement. La porte s'ouvrit lourdement et sa tête apparut. Sans dire mot il me fit entré chez lui et me débarrassa de ce que je n'avais pas besoin. Juste après il m'invita à m'installer dans le petit salon pour discuter tranquillement.

- " Pourquoi es-tu venu jusqu'ici ?
- J'ai quelque chose à récupérer je crois. Je le regardais méchamment.
- Oh ! Désolé mais je ne rends pas la marchandise prise. Il me sourit avant de rire légèrement d'un petit rire fluide.
- Je ne vais vraiment pas être d'accord avec toi. Premièrement, je suis contre les cadeaux d'anniversaires et tout ce qui est fête et deuxièmement j'aime pas ton comportement.
- T'as fini avec tes plaintes ? Ou tu veux en rajouter ?
- Alors, hum... Quoi qu'il arrive, merci du cadeau je l'aime beaucoup mais à l'avenir évité tout chose qui représente un cadeau d'anniversaire. Pour noël si ça vous chante mais pas pour mon anniversaire. J'ai pas besoin qu'on me rappel l'âge que j'ai. Donc, maintenant s'il te plait plus de cadeau pour ce jour funeste.
- Dit pas cela ! Mais si c'est tout ce que tu veux d'accord, il n'y aura plus de cadeau pour ton anniversaire mais il sera compenser autrement.
- Jamais ! Je ne veux rien vous valoir ni à Océane, ni à mon frère ni même à toi alors s'il te plait non. Le suppliais-je presque à genou.
- Que veux-tu sérieusement ? Je comprend pas ta façon de voir les choses et ça me déstabilise.
- Okay, je veux d'abord reprendre ce que tu m'as volé et après on verra.
- Tu crois que ce que je t'ai pris ça... "

Couper en pleine parole il n'eut surement pas assez d'air mais je m'en moquais. J'avais l'impression que mes lèvres brûlaient contre les siennes. C'est cependant encore lui qui coupa le contact sous le manque d'air. J'eus un léger rire en le voyant suffoqué tandis qu'il essayait de reprendre sa respiration. Il me regarda dans les yeux pour me lancer un regard noir que je détournais rapidement. Au moment où il réussit enfin à ravoir une respiration à peu près régulière il essaya de reprendre la parole.

- " Fait attention avoir quoi tu joues. Parce que je vais vraiment pas être de ton côté bien longtemps si tu me refait un coup pareil.
- Je reprenais ce qui m'appartenais. Maintenant, revenons en à la discution qu'on a eut avant ton départ dans ta chambre.
- Hein ?! A oui ça ...
- Pourquoi moi ? Lui redemandais-je de nouveau.
- Parce que je n'en veux pas une autre. Maintenant, quels sont tes revendications ?
- Essayeras-tu de ne jamais me blesser ?
- Le plus possible pour ça c'est sur.
- Seras-tu toujours là pour moi ?
- Le plus souvent qu'il me serra permis.
- Alors, Aime moi plus que je ne t'aime déjà.
- Je pense que c'est déjà fait, je suis à un stade très haut depuis notre rencontre. Donc... Tu veux bien être avec moi le plus possible ? Me redemanda-t-il suspect.
- Aussi longtemps qu'il m'en sera permis. Le rassurais-je.
- Bon. Maintenant, commençons tes révisions veux-tu.
- Oui. Très bonne idée. "

Je retournais dans l'entrer et sortit tout ce que l'on avait besoin pour travailler. Cela dura jusqu'à tard dans la nuit puis je partis m'allonger dans la chambre qui m'était destiné avant de m'endormir rapidement et à point fermé.


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